Les Tisseuses de silences
Cette création est conçue comme un tableau vivant où défilent les représentations du corps des femmes à travers les époques.
Une histoire de corps mystérieux qu’il faut tantôt cacher, tantôt montrer mais toujours contrôler.
Quatre femmes se transforment en manipulant des tissus comme une seconde peau qui ne cesse de muer.
Au fil de ces mutations, les corps morcelés de tabous et d’érotisme se révèlent et se cherchent.
La danse y dévoile des corps tantôt contraints, tantôt sublimés, reflet d’une histoire qui s’est tissée en lien étroit avec l’habillement .
Virginia Woolf écrivait : « ce sont les vêtements qui nous portent et non l’inverse », du corset au kimono en passant par la burka il n’y a qu’un fil qui traduit les moeurs culturelles silencieuses qui entourent le corps des femmes.
Ici la danse lève les voiles, les peaux se déploient avec les tissus pour en découdre avec le silence qui recouvre l’origine d’un monde.
Une histoire de corps mystérieux qu’il faut tantôt cacher, tantôt montrer mais toujours contrôler.
Quatre femmes se transforment en manipulant des tissus comme une seconde peau qui ne cesse de muer.
Au fil de ces mutations, les corps morcelés de tabous et d’érotisme se révèlent et se cherchent.
La danse y dévoile des corps tantôt contraints, tantôt sublimés, reflet d’une histoire qui s’est tissée en lien étroit avec l’habillement .
Virginia Woolf écrivait : « ce sont les vêtements qui nous portent et non l’inverse », du corset au kimono en passant par la burka il n’y a qu’un fil qui traduit les moeurs culturelles silencieuses qui entourent le corps des femmes.
Ici la danse lève les voiles, les peaux se déploient avec les tissus pour en découdre avec le silence qui recouvre l’origine d’un monde.
Dossier de la création
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